Apprenons des centenaires pour mieux vieillir

[av_heading tag=’h1′ padding=’10’ heading=’Apprenons des centenaires pour mieux vieillir’ color= » style= » custom_font= » size= » subheading_active= » subheading_size=’15’ custom_class= »][/av_heading]

[av_hr class=’default’ height=’50’ shadow=’no-shadow’ position=’center’ custom_border=’av-border-thin’ custom_width=’50px’ custom_border_color= » custom_margin_top=’30px’ custom_margin_bottom=’30px’ icon_select=’yes’ custom_icon_color= » icon=’ue808′]

[av_one_half first]
[av_textblock size= » font_color= » color= »]
Dan Buettner, auteur chercheur de National Geographic, a découvert des zones sur la planète, où des centenaires vivent ensemble, avec une santé hors-norme. Des années de recherches lui permettent de compter 5 « zones bleues ». Une zone bleue est un environnement délimité dans lequel vivent des centenaires respectant un style de vie spécifique. Dan Buettner répertorie 5 zones bleues :

  • une île de Sardaigne,
  • Loma Linda en Californie,
  • Nicoya au Costa Rica,
  • Okinawa au Japon,
  • et l’île Ikaria en Grèce.

[/av_textblock]
[/av_one_half]

[av_one_half min_height= » vertical_alignment= » space= » custom_margin= » margin=’0px’ padding=’0px’ border= » border_color= » radius=’0px’ background_color= » src= » background_position=’top left’ background_repeat=’no-repeat’ animation= » mobile_display= »]
[av_textblock size= » font_color= » color= »]
Naturopathie Paris Brunoy Johanna Dermi
[/av_textblock]
[/av_one_half]

[av_textblock size= » font_color= » color= »]
En 2008, ses travaux lui permettent de publier un livre : The Blue Zone Solution. Selon ses recherches, vivre dans une zone bleue en y respectant le mode de vie, multiplie nos chances par 10 d’atteindre 100 ans. Malgré leurs différents climats et environnements, Dan Buettner retrouve des points communs entre les 5 zones bleues et nous remarquons que les habitudes des habitants sont très proches des conseils de la naturopathie occidentale.
[/av_textblock]

[av_heading tag=’h2′ padding=’10’ heading=’La sagesse des zones bleues, la solution contre la vieillesse’ color= » style= » custom_font= » size= » subheading_active= » subheading_size=’15’ custom_class= »][/av_heading]

[av_textblock size= » font_color= » color= »]
Beaucoup de légume, de fruits non transformés. Les centenaires cultivent leur jardin, et consomment leurs produits locaux.

  • En Grèce par exemple, les centenaires élèvent leurs chèvres et consomment leur lait et fromage.
  • Au Costa Rica, ils sont friands de papayes et d’ignames, riche en antioxydants.
  • En Sardaigne, on boit 1 verre de vin local par jour.

Il est prouvé scientifiquement qu’1 à 2 verres de vin par jour est bénéfique pour la santé, car celui-ci est très riche en polyphénols, ce qui permet de diminuer les risques cardiovasculaires, d’inflammation et le taux de cholestérol. Cependant, dépasser 2 verres engendre les effets inverses et donc annule tous les bienfaits.

Peu de viande et de sucre raffiné. A vrai dire, la plupart sont végétariens. La viande est acidifiante et perturbe le microbiote (flore intestinale). De plus, ils ne consomment pas de produits industriels contenant du sucre, tel que les sodas, les gâteaux sucrés etc.

Diminuer l’apport calorique quotidien. Lors de la prise alimentaire, le cerveau met 20 min à informer l’estomac que les besoins énergétiques sont comblés. La leptine est une hormone synthétisée principalement par le tissu adipeux (plus grosse réserve énergétique du corps humain). Lors de la prise alimentaire, on observe une augmentation de la masse du tissu adipeux. Il y a production de leptine lorsque les réserves énergétiques du tissu adipeux sont suffisantes. La leptine alors sécrétée est transportée jusqu’au cerveau, et permet de déclencher la sensation de satiété. Nous continuons de manger alors qu’en réalité, nous n’en avons plus le besoin. S’arrêter de manger avant de ressentir la satiété est une clé pour être en bonne santé.

Manger des noix permet de couper la faim et permet de diminuer l’apport calorique quotidien. En effet les fruits à coques sont riches en fibre, en nutriments (tel que les oméga-3) lesquels facilitent la fluidification du sang et donc diminuent les risques de maladies cardio-vasculaire. Les noix permettent également de lutter contre le diabète de type 2.

Faire de l’exercice. Les centenaires des zones bleues cultivent leur jardin, font des marches de plusieurs kilomètres. En Grèce, les centenaires s’occupent de leur troupeau de chèvres, ce qui leur permet de se dépenser. De cette manière, ils restent toujours actifs, endurants, et donc en pleine forme.

Les habitants des zones bleus pratiquent depuis des millénaires les conseils de la naturopathie.
[/av_textblock]

[av_hr class=’default’ height=’50’ shadow=’no-shadow’ position=’center’ custom_border=’av-border-thin’ custom_width=’50px’ custom_border_color= » custom_margin_top=’30px’ custom_margin_bottom=’30px’ icon_select=’yes’ custom_icon_color= » icon=’ue808′]

[av_social_share title=’Partager cet article’ style= » buttons= » share_facebook= » share_twitter= » share_pinterest= » share_gplus= » share_reddit= » share_linkedin= » share_tumblr= » share_vk= » share_mail= »][/av_social_share]

0 commentaires

Soumettre un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *

Vous allez aimer…

AlimentationHypersensibilitéNaturopathie
alimentation neur hypersensibles
Le rôle de l’alimentation sur les neurotransmetteurs et le bien-être émotionnel des hypersensibles

Le rôle de l’alimentation sur les neurotransmetteurs et le bien-être émotionnel des hypersensibles

L'alimentation exerce une influence profonde sur notre santé physique et mentale, et cette relation complexe est particulièrement mise en lumière lorsqu'il s'agit du fonctionnement de notre cerveau. 

En effet, les aliments que nous consommons jouent un rôle indéniable dans la modulation de nos neurotransmetteurs, grâce aux nutriments qu’ils contiennent, nécessaires à la synthèse et au fonctionnement optimal de ceux-ci. Ils participent à la bonne gestion de nos émotions, ce qui est d’autant plus vrai chez les personnes hypersensibles.

Comprendre comment notre alimentation influence la production et l'activité de ces neurotransmetteurs est un domaine de recherche fascinant et en constante évolution.